Association pour la préservation du patrimoine et la gestion du musée des Arts et Traditions Populaires de Treignac
Mieux connu aujourd'hui comme peintre de chevalet, auteur de nombreux portraits, paysages et scènes de genre, Edmond Tapissier s'est pensé au départ comme "peintre-décorateur" réalisant des panneaux décoratifs ou des tableaux de grand format destinés au décor mural de divers lieux publics et privés et plusieurs cartons de tapisseries aujourd'hui conservées au Mobilier national.
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"Vous avez en lui la quintessence des plaines, des forêts, des marais, et de la meilleure basse-cour [...] l'industrie d'un cuisinier habile, varie ce Rôti selon les saisons, les lieux, et la dépense que l'on veut faire."
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Jusqu'au XIXe siècle au cours duquel seront mis en service le pont Finot (1824), le pont de la Brasserie (1840) et aménagées de nouvelles voies de circulation, l'ancienne rue du Pont sera dans Treignac, le seul axe permettant de traverser la Vézère, d'abord à gué, puis ensuite sur l'ouvrage qui deviendra le "Vieux-Pont". Les cartes postales - depuis les plus anciennes datées autour de 1900 - font voir comment ce paysage a peu changé jusqu'à aujourd'hui.
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Le tableau "Jésus donnant les clefs à saint Pierre", d'après Ingres a été restauré et replacé dans la chapelle des Pénitents au cours du mois d'octobre 2022. Si A. Thévenot, le peintre auteur de la copie est peu connu, la vie et l'œuvre de Jean-Auguste-Dominique Ingres sont bien documentés.
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Située sur le côté gauche de la "côte de l'hospice" - appelée aussi selon les époques, "la côte" ou la "rue de la Côte" et dénommée aujourd'hui "rue Ignace Dumergue" -, dans ce qui était à l'époque un faubourg à l'extérieur de la ville murée et de l'enceinte du château, la maison dite des Anglais est un édifice à l'architecture caractéristique des maisons urbaines ou péri-urbaines du XVIIème siècle dans notre région.
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Connaissez-vous l'hôtel Forest de Faye à Treignac ? Construit entre cour et jardin au XVIe siècle, doté d'un portail monumental, il est situé à l'intersection de la rue Grande et de la rue de la Garde.
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Sur fond de stabilisation de l’enseigne «Bal-musette» dont l'usage élargi fera de moins en moins polémique, diverses impulsions, vont configurer un «moment pionnier» du déploiement du style ou genre "musette" qui va aller s’amplifiant durant la première moitié du XXe siècle. Ce chapitre s’intéresse aux premières décennies qui voient le passage d’un bal-musette à spécificité auvergnate - bourrées et cabrettes - vers un type d’établissement de même enseigne dans lequel l’accordéon prendra son envol.
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Depuis le barrage du lac des Bariousses jusqu'au rocher des Folles, remontons le cours du temps sur la Vézère.
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Avez-vous connu Treignac dans les années 50 ? Retrouvons le bourg tel que l'évoque une sélection de cartes postales de l'époque. Nous continuerons ensuite cette balade dans l'histoire de Treignac au fil d'une série d'articles qui sera l'occasion de parcourir la collection de cartes postales que nous constituons au fur et à mesure des possibilités.
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Par sa technique faite d'une certaine forme de naïveté et de maladresse : simplification, absence de traitement de la perspective et des raccourcis, manque du rendu des formes et du volume anatomique, de l'expression des visages, le tableau apparaît manifestement comme l'œuvre d'un peintre sans formation classique. Comment ne pas penser à "la gaucherie émerveillée et minutieuse de l'art primitif" qu'évoque Guillaume Apollinaire. Lire la suite … →
Les amis de Treignac 